Finaliste de cette compétition l’an passé, le MHSC retrouve la Coupe de la Ligue ce mercredi soir (20h) contre Amiens. Avant cette rencontre, le milieu de terrain pailladin Joris Marveaux nous livre ses impressions.
Joris. Ce 16e de finale de Coupe de la Ligue arrive en pleine treve internationale…
J’étais un peu étonné d’apprendre cela mais c’est ainsi. C’est le calendrier. Il faut faire avec. C’est dommage de ne pas avoir tout le monde et ainsi de ne pas pouvoir continuer ce que nous avons fait de bien depuis le début de la saison, mais on compte sur l’ensemble du collectif. Cela va sans doute permettre d’offrir un peu de temps de jeu à certains.
Quel regard portes-tu sur le début de saison ?
On ne s’attendait pas à un tel départ. On ne pouvait pas pronostiquer d’être leader au bout de quatre journées, d’autant qu’on s’est offert le luxe de perdre un match en restant tout de même leader. C’est un très bon début de saison. Notre préparation a été bonne , la première victoire face à Auxerre a un peu libéré tout le monde et ensuite, tout s’est bien enchainé
Qu’est-ce qui a changé par rapport à la fin de saison dernière qui a été difficile ?
Nous avons remis les compteurs à zéro. On a essayé de mettre de côté ce qui s’est passé tout en essayant d’en retenir les leçons et nous avons décidé de réattaquer fort cette nouvelle saison. Pour l’instant ça nous sourit.
Pour toi, ce match est-il l’occasion de te montrer ?
Non. C’est un match, il y a une qualification au bout et il faut tout simplement l’emporter. Peu importe l’équipe qui sera alignée. Nous avons décidé de faire de cette Coupe un objectif. Nous avons vécu quelque chose d’exceptionnel l’an passé au cours de cette Coupe de la Ligue et on a décidé de tout faire pour revivre de tels moments. Face à Amiens, nous avons l’avantage de recevoir alors il faut gagner. On sait que ce ne sera pas facile, que la Coupe, ce n’est jamais évident. Personne n’a oublié que la saison dernière nous avions eu beaucoup de difficultés à battre Ajaccio lors de notre entrée en lice dans cette compétition. Dans nos têtes, on n’est surtout pas qualifié d’avance. ..
