Laurent Nicollin : « Continuer d’avancer » | MHSC Foot , billetterie Montpellier Hérault, mhsc match, match Montpellier, led publicitaire, panneau publicitaire led

Laurent Nicollin : « Continuer d’avancer »

Avant le dernier match de la saison à domicile, le Président du MHSC tire un premier bilan de la saison et évoque l’avenir sur de nombreux sujets.

L’ÉQUIPE PRO MASCULINE

En premier lieu, quel bilan tirez-vous de cette saison qui touche à sa fin ?
Cela a été une saison très, très compliquée, mais ce qu’il faut retenir, c’est qu’à la fin, et malgré les difficultés, nous attaquerons la saison prochaine notre 15ème saison consécutive en Ligue 1. C’est le plus important.

C’est le soulagement qui prédomine ?
Oui et non. Je ne vais pas nier l’inquiétude que j’ai eu et que nous avons tous ressenti pendant la saison, car par moments, on ne voyait pas le bout de la série de mauvais résultats. Le retour de Michel Der Zakarian a permis de stabiliser l’équipe, d’obtenir de meilleurs résultats et de créer assez rapidement un certain écart avec la zone rouge qui nous permet d’envisager les dernières journées avec plus de sérénité.

L’avantage avec Michel Der Zakarian, c’est qu’on se connaît. Parfois, dans une famille, il suffit d’un regard pour se comprendre…

Cela va relancer l’éternel débat sur la ‘’consanguinité’’ au MHSC…
Honnêtement, si on continue à fonctionner comme ça et que dans 20 ans on est toujours en Ligue 1, ça m’est égal de m’entendre dire que nous sommes consanguins. Ce sera même un plaisir quelque part (sourire). C’est vrai que j’ai lu cette analogie sur la consanguinité… j’ai moins lu que nous étions une des équipes les plus performantes sur la 2ème partie de saison, mais ce n’est pas grave... Ça fait sans doute moins parler. L’avantage avec Michel Der Zakarian, c’est qu’on se connaît. Parfois, dans une famille, il suffit d’un regard pour se comprendre… et comme il l’a dit lui-même, « Nous parlons la même langue ». Ayant été capitaine du club, ayant été formateur ici avant de diriger durant quatre saisons l’équipe professionnelle dans un passé assez récent, le retour de Michel nous a permis de gagner du temps pour que l’équipe soit tout de suite plus performante. Le recrutement effectué au mois de janvier avec les arrivées de Benjamin Lecomte, Kiki Kouyaté et Issiaga Sylla nous a aussi permis de retrouver une certaine stabilité, notamment sur le plan défensif. J’espère simplement que la saison prochaine nous vivrons un exercice, un peu moins stressant que cette année.

J’ai commis des erreurs, je ne le nie pas, mais quand on en fait, il faut juste savoir les corriger et essayer de ne plus les commettre. C’est ce à quoi je m’emploie avec les personnes qui m’entourent.

Est-ce la saison la plus dure de votre carrière ?
Non. Elle l’aurait été si nous avions été relégués en Ligue 2. C’est comme tout : quand ça ne va pas, les critiques sont toujours excessives et, quand ça va, les lauriers ont tendance à être excessifs aussi. Il y a un an ou deux, j’étais sans doute beaucoup plus haut en terme de louanges sur les réseaux sociaux qu’aujourd’hui, mais au fond, ce n’est pas mon but. Ce qui m’importe, c’est que le club fonctionne bien. Quand on voit que l’équipe féminine est encore en lice pour la troisième place même si ça va être très compliqué, que nos U19 ont échoué de justesse en quarts de finale du championnat et que notre équipe fanion est maintenue en Ligue 1, avec en plus quelques jeunes issus du Centre de Formation qui pointent le bout de leur nez, j’estime que la saison est globalement positive. Bien sûr on aurait pu mieux faire, bien sûr que l’on va tout faire pour s’améliorer, mais ça reste positif. Pour résumer, si les critiques sont constructives, on s’en sert, et si elles ne le sont pas, on poursuit notre route et on continue de travailler. Le but c’est que le club soit toujours en Ligue 1 et qu’il continue de grandir. Au-delà de la saison je dirai que c’est l’année civile 2022 dans son ensemble qui a été très compliquée. Là oui, c’est sans doute l’année la plus difficile depuis que je suis à la tête du club, même s‘il y en a eu d’autres très compliquées comme celles où on est descendu en L2 où lorsque nous n’arrivions pas à remonter. Cette saison 2022-2023 a mal débuté mais elle s’est bien terminée. J’ai commis des erreurs, je ne le nie pas, mais quand on en fait, il faut juste savoir les corriger et essayer de ne plus les commettre. C’est ce à quoi je m’emploie avec les personnes qui m’entourent.

Le club a déjà recruté deux joueurs avec Omeragic et Tamari, Elye Wahi est très courtisé. Quel est votre regard là-dessus ?
L’arrivée de Michel Der Zakarian et la stabilisation des résultats qui s’en est suivie nous a permis d’avancer sur ces deux dossiers c’est une très bonne chose. Nous n’aurions certainement pas pu les ficeler plus tôt si le maintien n’avait pas été acquis. Pour le reste, notre position est très claire : Elye a un bon de sortie ; s’il trouve une offre qui lui correspond et qu’on y trouve donc notre compte il partira… et si ce n’est pas le cas il restera. Stephy Mavididi a également un bon de sortie, Maxime Esteve a évoqué le souhait de peut-être vouloir voir ailleurs… Nous verrons ce que nous ferons en fonction des propositions et des demandes. Nous sommes sur d’autres pistes, nous savons que la priorité, en cas de départ d’Elye est de recruter un avant-centre et après nous verrons s’il faut compléter l’effectif. Notre groupe a montré ces derniers mois qu’il avait beaucoup de qualités, qu’il était capable de faire de belles choses et on va essayer de rester sur une dynamique très positive la saison prochaine, tout en sachant que, comme à chaque intersaison, il y a des joueurs qui émettent le souhait de partir et qui finalement restent, tandis que d’autres qui n’avaient pas forcément émis le souhait de s’en aller ont des opportunités inattendues. Je peux juste vous assurer que dans chaque secteur, des recrues potentielles ont été identifiées.

L’ÉQUIPE FÉMININE

Nous avons le devoir de montrer que nous sommes une place forte du football féminin français

La saison de D1 Arkema touche aussi à sa fin...
On peut avoir de gros regrets parce qu’en gagnant simplement un match de plus contre Soyaux ou Guingamp, on serait sûr de terminer troisième. Je suis donc à la fois énervé et déçu pour les filles parce qu’elles ont quand même fait une belle saison. Ça fait râler parce que je pense qu’il y avait l’équipe et le potentiel pour y parvenir. Après c’est à nous de tout faire pour continuer de progresser et de renforcer l’équipe la saison prochaine pour nous permettre de décrocher ce podium synonyme de retour en Ligue des champions. Je n’oublie pas non plus que la blessure de Lena Petermann dès le début de saison nous a causé beaucoup de tort. Je reste persuadé que si elle avait été présente toute la saison, nous aurions terminé troisième. Maintenant, il faut regarder les choses en face : nous avons perdu nos deux rencontres face au Paris FC qui nous devance au classement, donc il n’y a rien de scandaleux à les voir 3èmes et nous 4èmes. A nous de continuer à travailler et à grandir pour que ces confrontations directes, ce soit nous qui les gagnons. La prochaine saison qui va démarrer un petit peu tard, mi-septembre après la Coupe du Monde et, d’ici là, nous allons soutenir nos Bleues et j’espère qu’il y aura deux ou trois Pailladines dans le groupe pour cette Coupe du Monde.

Vous avez fait un choix fort en prolongeant le contrat de Yannick Chandioux…
Depuis le départ de Jean-Louis Saez du poste d’entraîneur (été 2019), les résultats de la section féminine étaient un peu en dessous de nos attentes et ce malgré les efforts de Frédéric Mendy, qui est quelqu’un que j’apprécie énormément. Malgré tout, ces trois dernières saisons, nous étions devenues une équipe quelconque de D1 Arkema ; or, le MHSC n’est pas une équipe quelconque de ce championnat. Montpellier fait partie de l’histoire de la D1 féminine. Nous avons le devoir de montrer que nous sommes une place forte du football féminin français. Depuis son arrivé, Yannick met des choses en place, l’équipe progresse et on souhaite lui donner les moyens de nous aider à retrouver le top 3. C’est un entraîneur performant, compétent, quelqu’un que j’apprécie, qui est discret et qui bosse bien. J’espère que les filles seront suffisamment régulières la saison prochaine pour enfin décrocher cette place sur le podium. Il est notamment impératif de trouver des solutions concernant les matchs à domicile. Il est inadmissible que nous ayons perdu autant de points devant notre public cette saison.

Nous avons un an pour tout finaliser et installer de bonnes bases pour le futur du football féminin français

Vous êtes aussi très impliqué dans la création de la future ligue féminine. Qu’en est-il ?
Les filles méritent d’être reconnues à leur juste valeur, et c’est dans cette optique que l’on met beaucoup de choses en place au fil des années. Dans la foulée de la Coupe du Monde en France en 2019, j’avais tiré la sonnette d’alarme en expliquant que c’était bien beau d’organiser la Coupe du Monde, mais qu’il fallait que ça suive derrière. La FFF n’a jamais suivi et concentrait la majeure partie de ses moyens sur l’équipe de France, or, il faut des clubs forts et compétitifs pour avoir une équipe de France forte. Aujourd’hui, l’apport et l’envie de Jean-Michel Aulas de créer cette Ligue féminine fait avancer les choses et je l’en remercie parce que, sans lui, je pense que nous ne serions pas là où nous en sommes aujourd’hui. La défection de MédiaPro, en plus d’avoir impacté le football masculin, a aussi impacté le football féminin car une dotation financière était prévue pour les filles… que nous n’avons malheureusement pas pu avoir. On travaille également d’arrache-pied pour mettre en place une convention collective, par rapport à de nombreuses thématiques dont la grossesse de la joueuse par exemple. C’était pratiquement réglé il y a 3-4 mois puis il y a eu quelques dissensions avec l’UNFP. Cela dit, on travaille dans le bon sens. Ça fait beaucoup de réunions à Paris, beaucoup de choses à mettre en place, mais les filles en valent le coup donc je suis très heureux d’y participer. J’espère ardemment qu’entre personnes intelligentes nous allons arriver à trouver cet accord sur la convention et que le reste va suivre. Nous avons un an pour tout finaliser et installer de bonnes bases pour le futur du football féminin français. Après, bien sûr, le nerf de la guerre c’est l’argent. La fédé va nous en donner un peu plus, nous attendons aussi de voir où en sont les droits télé de Canal+ mais il faut de l’argent parce que sinon, les meilleures joueuses continueront de partir comme elles le font déjà en Angleterre, voire en Espagne et même en Italie puisque la ligue italienne se bouge également beaucoup pour faire avancer les choses. Grâce à l’Olympique Lyonnais, le football féminin français a longtemps été sur le toit de l’Europe et si l’on veut retrouver les titres continentaux, il faut mettre en place les bonnes choses pour y parvenir.

La formation a toujours été dans l’ADN du MHSC chez les garçons et je souhaite qu’il en soit de même chez les filles

Parmi ces choses à mettre en place, des Centres de formations vont prochainement voir le jour, notamment au MHSC…
Oui. Nous sommes six clubs à ce jour à travailler là-dessus. La formation a toujours été dans l’ADN du MHSC chez les garçons et je souhaite qu’il en soit de même chez les filles. Jean-Louis Saez et ses équipes travaillent en ce sens. Plusieurs jeunes joueuses ont déjà pointé le bout de leur nez en équipe première cette saison, mais après il faut aussi que les clubs soient protégés, notamment grâce à des contrats. Si c’est pour former de bonnes joueuses et pour qu’elles partent toutes à Lyon, comme ça nous arrive régulièrement, ça n’a aucun intérêt. C’est la raison pour laquelle il faut des conventions pour que les filles soient sous contrat et qu’elles ne puissent pas partir ou bien que le que le club formateur reçoive des indemnités de formation. Ça fait partie des discussions. À un moment donné, il faut donner aux clubs les moyens de faire du bon travail ; et ça passe notamment par la formation et par des joueuses qui progresseront dans des clubs français pour ensuite mieux approvisionner l’équipe de France et permettre aux Bleues d’aller le plus haut possible.

LA FORMATION MASCULINE

Bertrand reuzeau a les pleins pouvoirs pour faire ce qui lui semble le meilleur et nous permettre d’avancer

Un mot sur le Centre de Formation masculin, marqué par la nomination de Bertrand Reuzeau en juillet dernier…
Je suis très heureux de sa présence ; d’abord pour ses compétences mais aussi parce que Bertrand a joué au club. On connaissait le joueur, on connaissait l’homme et ça aurait été une anomalie qu’il ne soit pas, un jour, Directeur du Centre de Formation du MHSC. C’est quelqu’un à qui je pensais depuis longtemps pour occuper cette fonction mais à chaque fois que le poste était libre chez nous, lui ne l’était pas et inversement. Francis de Taddeo a voulu retourner à Metz, Bertrand était libre et ça me semblait logique que ce soit lui qui prenne le poste.

Quel regard portez-vous sur la saison des jeunes ?
Ce n’est jamais facile quand un nouveau Directeur de Centre de Formation arrive. Comme lorsque Francis de Taddeo est arrivé, Bertrand a les pleins pouvoirs pour faire ce qui lui semble le meilleur et nous permettre d’avancer. Francis avait eu l’opportunité de s’entourer de personnes qui lui permettent de mettre ses idées en place et je souhaite que Bertrand ait la même liberté. Il faut donc lui laisser du temps. Ce n’est qu’au bout de deux ou trois ans que l’on pourra réellement mesurer son impact sur notre formation. Bertrand est quelqu’un en qui je me retrouve, qui bosse bien mais après, ce sont les jeunes qui monteront en équipe professionnelle qui valideront le travail qui est fait au niveau de la formation.

LE STADE LOUIS-NICOLLIN

l’inflation nous oblige aussi à revoir le devis avec quelques millions d’euros en plus donc ça prend forcément du temps mais j’espère que d’ici la fin de l’été tout sera calé. on refera un point à ce moment-là.

Où en est-on concernant le nouveau stade ?
Le projet avance. J’espère que nous allons parvenir à tout mettre en place. Il y a 10 jours j’aurais dit certaines choses et puis, aujourd’hui, on est dans l’attente d’autres éléments… rien n’est jamais vraiment calé, tout peut évoluer mais on avance. Je pense que le permis de construire sera déposé au mois de novembre ou décembre, voire janvier de l’année prochaine. On travaille dessus. Il y a encore des détails à régler parce que financièrement, c’est quelque chose de costaud ; l’inflation nous oblige aussi à revoir le devis avec quelques millions d’euros en plus donc ça prend forcément du temps mais j’espère que d’ici la fin de l’été tout sera calé et on refera un point à ce moment-là.

On sent une vision club de plus en plus tournée vers le public…
Il y a plusieurs volets dans ce secteur qui sont assez différents. Le 1er est socio-culturel et nous nous en occupons depuis de nombreuses saisons déjà, via le fonds de dotation, Espoir Orange et Rêve Bleu. Avec la fin des restrictions liées au covid, notre fonds de dotation a pu reprendre à plein temps ses activités et j’en suis très heureux. C’est une base très importante pour moi d’impliquer le MHSC dans la ville, le département et la région. Si tu fais rêver les gamins, automatiquement ils ont envie de venir au stade et de porter les couleurs de La Paillade. Je n’ai rien inventé en disant ça mais il faut donner, aller vers les gens et les gens te le rendent après. C’est la raison pour laquelle il faut que, dès leur plus jeune âge, des enfants soient supporters du club, sans oublier la dimension sociale. Nous sommes le club phare de la région Languedoc-Roussillon ça implique certaines responsabilités. Dans la vie, il faut donner avant de recevoir. Ça fait toujours plaisir d’aider les gens en difficulté ou de leur faire découvrir le club çà travers des opérations comme ‘‘Coach MHSC’’ ou ‘‘Le MHSC sur les bancs de l’école’’ par exemple. Je trouve ça très sympa et je pense que les gamins sont toujours heureux quand ils voient de près les joueurs qu’ils regardent devant la télé le week-end.

Je veux bien investir dans le stade actuel qui n’est pas à nous mais ça ne peut pas être le cas sur la durée. Il nous faut absolument cet outil du nouveau stade pour franchir un palier.

Et concernant les autres axes de développement ?
L’un des plus importants concerne l’accueil au stade et la fidélisation du public. Nous savons que nous serons encore à La Mosson pendant deux ou trois saisons mais ça n’empêche pas qu’il faut développer des choses en attendant, avoir des idées, aller vers les gens et mettre des choses en place. Aux services concernés de trouver les idées pour que les gens viennent plus nombreux et plus régulièrement au stade, pour supporter mais aussi pour consommer afin que cela nous permette d’avoir un peu plus de moyens financiers. L’argent ne fait pas tout mais il aide pas mal. Je vous prends un exemple : le ticket moyen par spectateur à Strasbourg en matière d’achat les soirs de match (restauration ou produits dérivés) est en moyenne de 7 euros. Strasbourg accueille entre 25 000 et 28 000 personnes par match. Je vous laisse faire le calcul de ce que ça rapporte au bout. Le montant est assez conséquent. A La Mosson, le ticket moyen du supporter est à un euro par match… et encore, on a, parait-il, la palme de la plus forte augmentation parce qu’il était encore plus bas les années précédentes… on fait 13000 personnes par match, je vous laisse faire le calcul de la recette que cela génère. C’est pour cela aussi que le nouveau stade est important : Il va nous permettre de générer d’autres recettes et donc d’avoir une équipe compétitive. Je veux bien investir dans le stade actuel qui n’est pas à nous mais ça ne peut pas être le cas sur la durée. Il nous faut absolument cet outil du nouveau stade pour franchir un palier. J’entends certaines critiques, j’entends aussi dire que les Nicollin ne mettent pas assez d’argent, mais croyez-moi, avec mon frère, on en met. L’idée c’est d’accueillir du mieux possible au stade de La Mosson en attendant l’arrivée du nouveau stade. Nous avons un déficit de compétitivité par rapport aux autres clubs et nous devons le combler.

Pour conclure, quel message souhaitez-vous délivrer aux supporters avant ce dernier match à domicile contre Nice ?
Le message est simple : nous avons besoin de leur soutien. Nous avons besoin de sentir un public aimant qui nous pousse et je sais que quand ils sont tous réunis, l’ambiance est vraiment magnifique. Je suis très heureux de voir que, sur certains matchs, nous avons fait une influence de 17 ou 18000 personnes… mais quand on arrive à peine à 12 ou 13 000 je me pose la question de ce que nous devons faire pour y parvenir et nous continuons d’y travailler. L’avantage c’est que nous avons une base fidèle de 12 ou 13 000 personnes et c’est à nous de la faire grandir encore car, plus tu es soutenu plus dans les moments difficiles, plus tu arrives à faire pencher la balance du bon côté, à relever la tête et à t’en sortir. Je vous souhaite à toutes et tous un bon match samedi soir et je leur donne bien évidemment rendez-vous pour la saison prochaine. J’espère que nous vivons encore de belles émotions et de bons moments à partir de la saison 2023-2004.

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